A Verdun, on avait regardé la forêt, on n’avait pas le droit de quitter le bord de la route et d’aller dans la forêt. Comme dans les forêts du Nord, il y avait plein de cratères. C’étaient les trous de bombe. Recouverts de tapis de feuilles mortes. Et si dans les forêts du Nord, on avait le droit de glisser sur les pentes des trous de bombes, ici, on ne pouvait pas, car 40 ans après la première guerre mondiale, le terrain était encore miné. Cependant des petits chemins s’enfonçaient dans la forêt.
dominique
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